8 autres expériences SEO qui changeront votre vie de référenceur (ou pas)
Hello à tous,
Oui, vous avez bien lu, voici enfin (!) la suite de l’article de Seosherpa qui présentait 16 expériences, à lire absolument en SEO dans la série des articles sur le thème référencement / visibilité web .
J’avais commencé une première interprétation française, mais la suite tardait à venir… la voici enfin (Regis aka ledzep_56, c’est pour toi 💙💋 )
La première partie, si vous ne l’aviez pas vue, est accessible ici : 8 expériences SEO qui changeront le cours de votre vie de référenceur.
Voici donc 8 autres expérimentations sur le SEO. Parfois, vous verrez, les résultats peuvent être assez étonnants et remettre en question certaines croyances 😉
Pour accéder à une expérience en particulier, cliquez dessus :
9- Les liens externes améliorent votre ranking
En SEO, on considère généralement que faire des liens va faire diminuer l’autorité d’une page (selon Google, il s’agit pourtant d’une bonne pratique, cf. linking to related resources, en anglais).
L’idée véhiculée est la suivante : plus vous avez de liens sortants, plus votre PageRank diminue. Et moins vous rankez (voir l’explication du PageRank, en anglais)
L’expérimentation de Shai Aharony fonctionne de la façon suivante (à lire ici, en anglais outgoing links experiment) :
- Création de 10 sites, de structures semblables
- Chaque site contiendra un article de 300 mots, optimisé pour le mot “phylandocic”
On note que rien ne sort dans la SERP avant le début du test :
3 liens vers des sites à très forte autorité (Oxford University, Genome Research Institute et Cambridge University) sont ensuite placés sur 5 des 10 domaines créés.
Une fois les sites indexés, voici les rankings obtenus :
Comme vous le voyez, les sites avec des liens vers les sites à forte autorité dépassent les autres.
En conclusion, chaque fois que vous publiez un article, vérifiez bien qu’il contient une poignée de liens vers des sites pertinents et de confiance.
10- Les liens Nofollow améliorent aussi le ranking
Le test présenté ici vise vérifier si les liens nofollow ont un impact direct sur le ranking (voir experiment from the IMEC Lab, en anglais).
La croyance : utiliser un lien nofollow revient à empêcher le jus de passer, et donc l’autorité (voir l’explication en anglais stop authority being passed).
On s’attend donc à ce que ces liens NF n’aient aucune valeur en SEO. L’expérience montre tout à fait autre chose.
1er test réalisé avec les liens nofollow
Dans les 2 tests réalisés par IMEC Lab, des liens nofollow ont été envoyés depuis 55 domaines différents vers une page qui rankait initialement en position 16.
Après indexation des liens NF, la page est juste montée d’une place (faible volume de requêtes, pour un mot-clé concurrentiel).
Les liens nofollow ont ensuite été retirés : la page est montée en 6ème position.
Donc +10 places, seulement avec des liens nofollow.
2ème test sur les liens nofollow
Sur un mot-clé peu compétitif, des liens en nofollow sont ajoutés depuis 42 domaines différents.
Remarque : Les liens étaient tous dans le contenu de la page (pas de liens header, ni de footer, de sidebar, ou de widgets).
Après indexation des liens, la page est montée en position 6, soit 3 places de mieux.
les liens NF ont ensuite été retirés… et le site a encore gagné une place (5ème).
Dans ces 2 tests, les sites ont donc amélioré leurs rankings de façon significative après avoir reçu des liens nofollow (+10 places pour le 1er, +4 places pour le 2ème).
Rand Fishkin insiste sur le fait que ces tests devraient être réitérés pour être vraiment concluants, mais que ces éléments suggèrent une vraie corrélation entre le ranking et l’ajout de liens in-text en nofollow.
“My takeaway. The test should be repeated 2-3 times more at least, but early data suggests that there seems to be a relationship between ranking increases and in-content, no followed links”
Nicole Kohler indique qu’il y a probablement un cas particulier pour les liens en nofollow (voir case for nofollow links, en anglais), mais quoi qu’il en soit, elle suggère que « le lien appelle le lien« (nofollow ou follow). Et que tous ont de la valeur.
11- Un lien depuis une page qui contient déjà des milliers de liens ? Oui, ça fonctionne.
La croyance SEO : un lien depuis une page qui possède déjà plein de liens sortants ne vaudra pas grand-chose (sous-entendu le jus transmis par la page qui linke est tellement dispersé qu’il ne doit plus agir beaucoup).
Dan Petrovic a voulu tester cela (voir PageRank Split Experiment, en anglais).
Le Test du PageRank
Dans ce test, Dan utilise 2 domaines A et B en .com, de contenus uniques mais avec des caractéristiques similaires.
Pendant le test, B reçoit un lien depuis un site intermédiaire, lui-même linké depuis http://www.debian.org (PR 7), qui contient 4225 liens sortants.
L’idée est de voir s’il y a quand même du PageRank passé depuis une page avec autant de liens sortants. Et si c’est le cas, comment cela peut influer sur le ranking.
Bon, en toute logique, il n’aurait rien dû se passer… Sauf que peu de temps après que le site B ait été linké au debian.org (via le site intermédiaire), il a grimpé dans les rankings.
Jusqu’à se positionner en 3ème place !
3 mois après le test, le site B a encore gagné une place (en 2ème position), la position 1 étant trustée par un site avec plus d’autorité (PR4).
Le site A, non linké, est lui resté à sa place pendant un temps pour a commencé à chuter dans les SERPs.
Donc, un lien depuis une page qui a déjà beaucoup de liens sortants a toujours de la valeur !
12- Les liens depuis des images, ça fonctionne vraiment bien !
L’idée de Dan Petrovic ici est de voir si le texte qui entoure le lien a une importance pour ranker sur Google.
Il met donc en place le test suivant pour en avoir le coeur net (voir son test en anglais).
L’expérience du texte de l’ancre
Cette expérience vise à tester l’impact de différents types de lien sur le ranking, en fonction de leur contexte.
4 domaines quasi identiques ont d’abord été enregistrés :
- http://********001.com.au
- http://********002.com.au
- http://********003.com.au
- http://********004.com.au
Chaque domaine a reçu un lien depuis la page d’un site web à forte autorité (un site différent à chaque fois). La page du site web à forte autorité proposait un texte contenant un mot-clé spécifique, et le lien vers le domaine était fait à chaque fois avec une ancre différente :
- 001 : L’ancre du lien est le mot-clé exact.
- 002 : Le Mot-clé est dans une phrase pertinente, suivie immédiatement de l’URL brute (http://********002.com.au) .
- 003 : Une image sert d’ancre de lien avec la balise ALT = [mot-clé]
- 004 : On utilise “click here” comme ancre de lien et le mot-clé est proche du lien.
Résultats du test de l’ancre
L’ancre en exact match a bien fonctionné, certes, mais l’image avec la balise ALT encore mieux (les autres liens avec pour ancre “click here” ou l’URL brute ne sont pas du tout sortis dans les résultats de Google).
La leçon à tirer de l’ancre de lien
Ceci n’est qu’une expérience isolée, certes, mais en tout état de cause le lien sur l’image fonctionne particulièrement bien. L’équipe de Ahref a également posté un article à ce sujet si vous voulez en savoir plus (voir l’article en anglais image asset link building here).
Enfin, n’oubliez pas qu’un profil de liens variés apportera toujours de meilleurs résultats.
Et pour avoir des idées pour obtenir différents types de baccklinks, je vous invite à lire aussi l’article de Brian Dean (en anglais) : 17 untapped backlink sources.
13- Les communiqués de presse, ça marche aussi (spéciale cace-dédi à Matt Cutts)
Fin 2014, Matt Cutts dénonçait les communiqués de presse et indiquait qu’ils étaient parfaitement inutile en SEO (voir publicly denounced press release links, en anglais).
“I wouldn’t expect links from press release web sites to benefit your rankings”
Matt Cutts, responsable de la webspam team chez Google
Cette affirmation a été mise à mal – de façon plutôt ironique d’ailleurs – à l’aide de cette publication sur un communiqué de presse (à voir ici, en anglais : press release) :
Dans ce communiqué de presse, le texte de l’ancre était le mot-clé “Sreppleasers” (qui n’apparaissait bien entendu nulle part sur le site de Matt Cutts), et linkait précisément vers le site de Matt.
Après cela, si vous cherchiez “Sreppleasers” dans Google, devinez quel site sortait tout en haut de la SERP (bon, les résultats ont évolué depuis mais le site de Matt est toujours là 😉 ) ?
Ce sujet a déjà fait couler beaucoup d’encre (bon, de l’encre en 0 et en 1) afin de savoir si les communiqués de presses sont réellement efficaces ou non (à lire ici, en anglais : discussion)…
Mais les résultats semblent parler d’eux-mêmes… qu’en pensez-vous ?
14- Le 1er lien trouvé dans une page est celui qui compte
Cette expérience date de quelques années déjà (heu… 2008 quand même !) donc les choses ont évolué depuis. Néanmoins, ce test mérite qu’on s’y attarde un moment.
Cela a commencé par un article de Rand Fishkin qui indiquait que Google ne prend en compte que le 1er lien trouvé, pour une même URL, dans une page donnée (voir son post, en anglais).
Mais peu de temps après, cette théorie a été mise à mal par David Eaves (voir l’avis de David Eaves, en anglais).
Pour en avoir le coeur net, voici l’expérience mise en place (à lire ici, en anglais).
Le Test du 1er lien crawlé
L’hypothèse est la suivante : si un site est linké 2 fois (ou plus) depuis la même page, seule la première occurrence affectera les rankings.
Pour tester cela :
- 2 sites web A et B ont été spécifiquement créés
- A fait 2 liens vers B, avec 2 ancres de liens différentes (sur les 2 mots-clés « blue widget » et « red gizmo »).
1er Test
Une fois les liens indexés par Google, les rankings du site B ont été vérifiés sur les 2 mots-clés.
Résultat : Le site B ranke effectivement sur le 1er mot-clé “blue widget” mais pas sur le 2nd “red widget “
2ème Test
La position des liens est ensuite inversée sur le site B : le 2nd mot-clé “red gizmo” est placé au-dessus du 1er “blue widget” dans le texte du site A.
Une fois les changements indexés, les rankings sont les suivants :
- B a disparu de la SERP pour le 2nd mot-clé (anciennement placé en 1er).
- B ranke sur le 1er mot-clé
Donc les rankings ont été modifiés en même temps que l’ordre d’apparition des liens sur le site A.
Test 3
Pour vérifier encore, les mots-clés ont été remis selon leur position initiale pour ce 3ème test.
Une fois les sites ré-indéxés, B a de nouveau ranké comme lors du test 1 (présent dans la SERP pour le 1er mot-clé et pas pour le 2nd).
Ce test montre donc assez clairement que Google ne prend en compte que le 1er lien trouvé.
Et cerise sur le gâteau, les mêmes tests ont été réalisés de nouveau avec cette fois le 1er lien en nofollow : résultats identiques, Google ne change pas de comportement à cause du nofollow et continue de faire ranker le 1er lien uniquement.
En conclusion
Donc, si vous venez à mettre plusieurs liens vers la même URL dans une page, faites attention à bien choisir l’ancre de votre 1er lien.
15- L’ancre d’un lien influence le title des pages
Dans le cadre d’une activité SEO, vous le savez, le title de vos pages a une place importante.
Plusieurs études SEO ont d’ailleurs identifié le Title comme un facteur de ranking pertinent (les lire en anglais SEO studies, ou plus récemment ).
Ou plus récemment, vous pouvez aussi regarder les résultats de l’études SEO factors
Et puisque le title est le lien qui apparaît normalement dans la SERP, l’optimiser est une bonne idée. Mais que se passe-t-il si l’on ne s’en préoccupe pas ?
Il y a quelques années, Dejan SEO a voulu tester les facteurs ayant de l’influence sur le lien affiché dans la SERP, lorsqu’une page est créée sans title (voir ce test ici en anglais factors Google consider when creating a document title)
Qu’en est-il pour le texte de l’ancre ? Peut-il influencer le lien affiché dans la SERP ?
Matt Cutts indiquait dans cette vidéo que ça pourrait bien être le cas (avec cette formulation délicieuse toujours) : https://youtu.be/L3HX_8BAhB4
Mais pour obtenir une réelle preuve, Dan Petrovic a mis en place l’expérience suivante (follow up experiment) : plusieurs liens ont été faits vers une page du site de Dan (qui avait un title renseigné à “Untitled Document”), en utilisant l’ancre “banana”.
Dans la Search Console de DAN, voici ce qui apparaissait :
Pendant le test, Dan a suivi les résultats de 3 requêtes :
- info:dejanseo.com.au/untitled.html
- untitled document dejanseo
- site:dejanseo.com.au banana
Et voici donc le résultat :
Vous le voyez, la page de title “indéfini” est miraculeusement apparue dans la SERP sous le nom de “banana”.
Ce test tend donc à montrer que lorsqu’on fait un lien vers une page, l’ancre du lien utilisée tend à modifier le contenu de la SERP.
Cela ne veut pas dire pour autant que vous ne devez pas optimiser vos titles avec attention ^^
Brian Dean semble indiquer que le title n’est peut-être pas aussi important qu’il l’a été par la passé, mais qu’il compte toujours (lire l’étude de Backlinko, en anglais).
16- Le Negative SEO ou comment faire chuter ses concurrents dans les SERPs
Tout d’abord, soyons clairs : oui, le negative SEO est possible.
En 2003, Google a changé de formulation à ce sujet :
Google indiquait avant qu’il n’y avait rien qui puisse faire du mal à votre positionnement. Maintenant, ils indiquent qu’il n’y a presque rien.
Assez révélateur, non ?
L’expérience de NSEO
Pour savoir plus précisément avec quelle facilité ce type d’opération est réalisable, Tasty Placement a mené une expérience de Negative SEO (voir cette expérience, en anglais).
Ils ont cherché à faire chuter le site Pool-Cleaning-Houston.com, en lui envoyant plein de liens spammy. Le site était plutôt bien positionné avant cela, et rankait notamment sur « pool cleaning houston ».
52mots-clés ont été suivis durant l’expérience.
Les liens spammy
Plein de liens à pas cher ont été envoyés pour l’expérience :
- 45 000 commentaires, avec comme ancre « Pool Cleaning Houston » – Coût : 15 $
- 7000 liens de profils de forum, avec pour ancre « Pool Cleaning Houston » – Coût : 5 $
- Liens en sidebar, sur 4 blogs dégueux (4000 liens environ en tout), avec pour ancre « Pool Cleaning Houston » – Coût : 20 $
Coût total 40 dollars.
Ces liens ont ensuite été pointés vers Pool-Cleaning-Houston.com, en 15 jours de temps, dans l’ordre suivant : d’abord les comm’, ensuite les profils de forum, et enfin les liens en sidebar.
Tout d’abord, les comm’ n’ont eu aucun effet. 7 jours après, les liens des profils de forum ont été placés, ce qui a fait monter le site de la position 3 à la position 2. Ce n’était pas prévu du tout !
7 jours après ça, les liens en sidebar ont été ajoutés et là…….. badaboum !
Parallèlement à la chute sur le mot-clé principal, 26 autres mots-clés ont également bougé fortement.
Donc, pour résumer, ça a semblé plutôt facile – et peu onéreux – d’aller shooter les rankings d’un concurrent.
Cette expérience n’explique cependant pas précisément ce qui a causé la chute dans les SERP (la répétition de l’ancre ou le mauvais voisinage), cela montre néanmoins que le negative SEO existe vraiment.
En conclusion
Voilà, vous avez l’ensemble des 16 expériences SEO maintenant. Certaines montrent des résultats parfois inattendus, qu’en pensez-vous ?
Et pour ceux qui en doutaient encore, au vu du peu d’informations au sujet de l’algorithme de Google, mieux vaut continuer à tester… et à tester encore !
Perso, j’aime beaucoup la partie « liens sortants » en follow ou nofollow (expériences 9 et 10), ainsi que le « Negative SEO ».
Et vous, lesquelles préférez-vous ? N’hésitez pas à me raconter tout ça en commentaire 🙂
Et pour ceux qui n’avaient pas lu les 8 expériences précédentes, elles sont là :
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22 Commentaires
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- 8 expériences SEO qui changeront votre vie de référenceur(ou pas) - […] Edit du 27 mai 2016 : Youpi, la suite existe enfin, elle est ici : http://www.numastickwebfactory.fr/8-autres-experiences-seo-changeront-vie-de-referenceur/ […]
- 8 expériences SEO qui changeront votre vie de référenceur(ou pas) - […] Edit du 27 mai 2016 : Youpi, la suite existe enfin, elle est ici : https://www.numastickwebfactory.fr/8-autres-experiences-seo-changeront-vie-de-referenceur/ […]
Hello,
je suis tout retourné devant cette dédicace… l’étape d’après, c’est le BL do follow dans un article c’est ça ?
Régis
PS : je mets même pas de lien sur ce « spamco ».
Huhuhu, tu m’en vois ravie ^^
Oui, bah oui, c’est prévu. Je t’ai dit, il ne te reste plus qu’à faire l’article autour 🙂
Bonsoir,
Bon je vais gratter un lien nofollow dans ce commentaire puisque ca fonctionne toujours :)…. .
Non plus sérieusement, ces tests sont très intéressants mais légèrement potentiellement dépassés ; il doit s’en passer des choses dans l’algo de google en moins d’un an et puis scientifiquement il ne faut pas faire généralité d’un unique test concluant.
Mais, c’est une excellente base de réflexion et incitation à faire soi-même ses propres tests contre toutes ces idées reçues !
Amicalement,
Laurent
Non mais c’est clair (t’as même un test qui date de 2008) !
Mais globalement ça permet surtout d’ouvrir un peu les œillères je trouve 🙂
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Matériel super intéressant, surtout pour les liens externes… et la bonne nouvelle c’est que j’en utilisais déjà un peu! On va maintenir le cap ^^
🙂
Le plus etonnant c’est l’influence des liens nofollow une fois qu’ils sont supprimés, vraiment je trouve ça byzarre. Le reste ça me semble assez naturel au final.
Et le NSEO bien sûr que ça existe et c’est diablement plus facile de plomber les concurrents que de faire monter le site en question 😀 Mais bouh, c’est le mal!
Oui, c’est étrange en effet.
Tu n’as plus qu’à faire le test de ton côté 😉
Et pour le NSEO……je serais plus modérée sur les propos perso, mais bon, c’est qu’un avis.
Concernant la 9, je suis dubitatif… Oui, cela a un impact mais je ne pense pas réellement que cela compte. Il faudrait faire le test avec des sites ayant un bon profil de linking, et je me dis que la, il ne devrait pas y avoir d’incidences réelles…
Cela ne reste que des suppositions mais je préfère garder mes distances avec cette idée..
Par contre la 10 en No Follow est très intéressante même si comme Gul l’a dit, c’est étrange que les positions soient modifiées après la suppression des liens…
Bref, encore merci pour ce retour, aussi intéressant que la première partie, un grand merci à toi !
Mais je t’en prie, avec plaisir 🙂
Sinon, concernant la 9, c’est assez facile à tester soi-même, non ?
Essaie, tu n’as rien à perdre de toute façon ^^
Oui c’était prévu, j’en ferais part ici en fonction des résultats 🙂
Ah bah avec plaisir 🙂
++
Hello,
Je ne suis pas sur d’avoir compris la partie des liens avec nofollow…
Les sites progressent lorsqu’on crée une poignée de liens nofollow, et ils progressent encore plus lorsqu’on les retires ?
Etrange comme phénomène, non ?
Est-ce qu’il n’y a pas d’autres signaux intéressants pouvant être pris en compte entre temps ?
Hello,
Oui, c’est étrange, certes.
Mais c’est comme ça qu’il a conduit ses 2 tests apparemment (« Participants were then asked to remove the nofollow links which resulted in this: »).
Pareil, j’aurais juste envie de dire que ça mériterait de re-tester de son côté 😉
Pour répondre aux interrogations sur l’effet du lien qui perdure après sa disparition, ma théorie est que le temps de traitement est aussi long dans un sens comme dans l’autre. C’est à dire qu’on voit les effets d’un lien parfois 3 ou 4 mois après son apparition. Je suppose que c’est pareil dans l’autre sens.
Concernant le nofollow, j’avais fait une expérience avec Aurélien Bardon sur Oseox où nous démontrions que Google ne respectait pas la consigne, donc il allait bien regarder de l’autre côté pour voir ce qui se passe.
Ce test date de quelques années et celui que tu cites remonte à 2014.
Le problème est que les choses ont changé. Désormais, Google ne semble plus passer par dessus le nofollow.
Du coup, cela me semble compliqué d’envisager un quelconque impact.
En tout cas, j’ai changé ma préco et je ne conseille plus de travailler le nofollow, alors qu’auparavant il constituait une part non négligeable de la stratégie de linkbuilding.
Hello Laurent,
Merci pour ton commentaire 🙂
Bon, perso, je n’ai pas mené de tests d’envergure, mais je serais probablement moins catégorique concernant l’utilisation ou non des NF…
Mais bon, ce n’est qu’un avis.
Merci à toi en tout cas !
Super article!
Pour ma part, j’ai bien aimé les parties sur :
– Les liens no follow
– Le negative SEO (même si c’est mal) =)
Merci Antoine 🙂
Et quel beau NDD tu nous sors dis donc ^^
Vraiment génial, j’ai pas eu le courage de lire l’article original en anglais donc encore merci pour la traduction.
Je pensais pas que les liens nofollow influaient tant que ça le ranking.
Après pour le dernier test sur le négative, il me reste quelque question. Est ce que le site avait déjà beaucoup de liens avant le bourrage d’ancre et étaient-ils variés ?
En tout cas je trouve que la répétition d’ancre abusive est plutôt gentille. A quand un test avec des ancres bien sales. Faut-il s’attendre à une disparition des Serp ?
Avec plaisir 🙂
Ecoute, j’ai été regarder mais rien n’est particulièrement indiqué sur le profil de liens avant le NSEO. Juste qu’il rankait de façon stable depuis plusieurs années.
Bah vas-y , je t’en prie, fais-nous un beau test avec des ancres sales et viens nous donner le résultat ? 🙂
A part ça, j’aime beaucoup la reco de John Doe sur ton site ^^
N’étant pas pro du référencement, j’essaye de lire un peu tout ce qui est écrit (et lisible…) sur ce sujet.
Et j’ai appris encore sur le sujet.
Merci.
Avec plaisir.
Bon, ça fermera les commentaires de cet article du coup.